Triste jour (pv alexou le moche et lily ma Ju'm )

10 juillet (oui c’est demain =D *paf*). Jour mémorable dans l’histoire des sœurs Munch. Leur arrière arrière grand-mère, une certaine Félicité Munch, meurt. Les causes sont encore aujourd’hui inconnues. Mais, Ce que les enquêteurs ne savaient pas, c’est que cette grande dame aux yeux de la famille, n’était qu’une vampire assoiffé de sang parcourant terres et mers à la recherche du meilleur humain au monde. Bien sûr, aucun ne pouvait égaler son mari, lui aussi vampire, mais encore en vie. Félicité était la proie de beaucoup de chasseur et d’Auror. Bien qu’elle ne faisait pas partie des mangemorts.

Shinley avait prit ses affaire, posée du repos pour cette journée sans en données les vraie raisons. Son employeur, monsieur Norsk était un homme gentil, qui ne devait pas s’inquiéter pour ses employées. Elle décida donc de ne rien dire à personne. Pas même à ses deux où trois amis qu’elle avait réussit à se faire.

Partit de chez elle, elle marcha une bonne partie de la matinée, tournant souvent en rond. Mais, elle s’en fichait. Les pensées se déversaient dans sa tête. Elle ne savait pas quoi faire ni même quoi dire. La jeune Munch se sentait si mal. Le seul réconfort qu’elle pouvait trouver en ce moment n’était autre quand dans les bras de sa sœur, Lily.

Un quart d’heure plus tard, choquée, Shin s’arrêta net devant un grand portail de fer. Elle y était. Elle s’était rendu où reposait Félicité. La jeune femme poussa les grandes grilles qui fermait le cimetière, et pénétra à l’intérieur. Les tombes étaient rangées par ordre alphabétique. Même ici, ils étaient ordonnés. La mangemorte laissa une larme couler le long de son visage, et, continua sa marche. Elle arriva devant une tombe différente. Un diable avec des ailes aussi grandes que la tombe elle-même étai sculpté dans le marbre. Shin se pencha pour lire le nom, qui était ensevelit sous la poussière et les toiles d’araignées.

*pauvre de lui, aucune personne pour nettoyer sa tombe*

Shin souffla un coup puis passa sa main pour enlever les toiles d’araignées, et… son visage se glaça. Comme pétrifié. Elle n’osait plus bouger. Sous le choque, elle tomba à terre. Les yeux écarquillés, elle n’en revenait pas. Elle était devant. Oui, elle y était bel et bien. Sur la tombe, on pouvait lire en toute lettres.

FELICITE MUNCH

Rien que ce silence sollennel, oppressant, qui imprégnait chaque allée du cimetierre; ces fleurs fanées, devenues grisâtres, déposées par-ci par-là depuis des lustres, par des proches venus rendre hommage à un défunt parent; ces pierres tombales, certaines lisses d'autres fissurées et dévastées par les ravages du temps, et teintées d'une certaine lumière funèbre, pâle et triste; cette ambiance mystique, presque surnaturelle mais omniprésente, inspirée par les morts, par la mort. Rien que parce qu'il représentait un désert humain, un lieu hostile d'où peur, tristesse et ténèbres figuraient comme les principaux maîtres-mots, rien que pour son atmosphère malsaine et repoussante, le cimetierre de Londres incarnait le milieu idéal de repos et de contemplation, pour le professeur Clemence.

Ainsi vêtu d'une chemise bleue marine débordant d'un jeans tendance qu'il s'était lui-même procuré récemment dans un des magasins de la capitale, le tout surmonté d'une fine cape noire aux attaches d'argent, descendant jusque ses pieds, et fleurtant avec le sol; Alexander avait donc pris toutes les précautions afin de ne pas se faire remarquer et se fondre dans le décor sombre du lieu. Chaque semaine, et c'était devenu une habitude chez lui depuis son enfance, le jeune homme partait se réfugier dans ce coin tranquille, la nuit, afin de se défouler de toutes les maltraitances qu'il subissait à l'orphelinat. Certes, il lui fallait prendre des risques supplémentaires afin de fuguer de son ancien misérable lieu de vie, mais l'occasion en valait la chandelle. Ce n'était que dans cet univers morne et macabre que le petit parvenait à s'y retrouver; esprit troublé et tordu qu'il était, et qu'il est toujours d'ailleurs, le futur professeur de Poudlard avait en permanence trouvé un réconfort dans le calme et l'apaisance de cet endroit, car, constamment, il avait su y trouver les réponses aux questions qui le hantaient depuis le décès de ses propres parents, qui le harcelaient depuis qu'il avait été abandonné aux mains et aux griffes de ces pitoyables et vulgaires Moldus, au sang de bourbe: l'importance de son appartenance à la noble et pure lignée des sorciers; son ignorance quant aux sentiments et réactions humaines; ses impulsions sadiques qui le poussaient à exécuter sans retenue ni remords les plsu ambitieux de ses projets... Désormais qu'il était devenu adulte, et qu'il avait résolu la plupart de ces désagréments, bien que son emploi du temps ne le permît pas souvent, Alexander affectionnait à se rendre de temps en temps en ce lieu qu'il considérait comme sacré. Après tout, cela lui permettait de se défouler un peu, lorsqu'il n'avait pas l'occasion de participer de temps à autre, aux missions exigées par son statut de Mangemort, ou encore de se démarquer quelque peu de cet agacement, de cette irritation constants que lui inspiraient l'ignorance et l'insouciance de ses élèves à Poudlard.

Le soleil était presque à son zénith, désormais, il fallait regagner la sortie avant que quelques moldus ne le surprennent à voguer entre les tombes, alors que l'heure d'ouverture n'était pas encore arrivée. Marchant donc d'un pas doucereux vers l'entrée du cimetierre, Alexander eut pourtant la suprise d'apercevoir, à quelques pas devant lui, une jeune femme, des cheveux blonds et sales lui tombant devant le visage. Apparemment, au vu des quelques larmes brillantes qui coulaient sur sa joue rosée, celle-ci était venue rendre visite à l'un de ses proches disparus. Quelle faiblesse d'esprit que de s'acharner ainsi à préserver la mémoire d'un être devenu de poussière, et qui n'a d'autre intérêt, d'utilité, que de nourrir les asticots et autres petites bêtes ragoûtantes, en quête de bout de viande en décomposition. S'apprêtant donc à passer son chemin afin d'ôter son regard de cette scène pour le moins ridicule, le ministre s'arrêta brusquement, comme s'il fut frappé par une soudaine inspiration. S'approchant au contraire de la jeune femme, il reconnut là une de ses anciennes élèves. Shinley Munch, Serpentarde à la grand-mère vampire. Ne pouvant, une seconde de plus, résister à la tentation, il déclara, d'une voix mauvaise et provocatrice:

- Poussiéreuse, sale, abandonnée, oubliée de tous à part de ses ignobles petites copines les araignées et de sa malheureuse petite fille... Pfiouu, elle devait vraiment être pitoyable ta mémé.

Marquant enfin une pause, afin qu'elle puisse le reconnaître, il conclut enfin, dans un sourire malveillant:

- Et apparemment ca se transmet de génération en génération...

Se disposant sur une des pierres tombales qui juxtaposaient celle de Félicité, comme s'il se trouvait sur son divan particulier, il fixa les yeux brillants de la jeune femme en attendant sa réponse.

Willow venait de se réveiller, elle s'était préparra en vitesse pour aller sur la tombe de sa mémé, un vieux tas de cendre dans une urne. Oui, car sa mémé était un vampire. Elle s'était fait tuer et elle était tomber en cendre. Le dix du mois de juillet, c'était le jour de sa mort, et ce matin là nous étions aussi un dix juillet. Un jour où les soeurs Munch allait sur la tombe de leur mémé Félicité. Lily n'avait jamais aimer faire cela, allait voir ce vieux tas de cendre ne la passioner pas, mais Shinley elle était plus sentimental. Lily était la dernière née, mais elle était la moins sentimental des soeurs Munch. Lily était presque toujours froide et Shinley était presque toujours entrain de sourire. Lily n'avait aucun ami a part elle même et Shinley avait un meilleur ami et des copines. Liy avait eu un meilleurs métier que sa soeur, elles avaient des points commun et des différences... Comme tout le monde.

Lily ce dirigea d'un pas non chalant vers la porte. Elle l'ouvrit et marcha jusqu'au cimetière. Quand elle fut a quelque mêtre du cimetière Lily entendit une voix famillière. C'était un homme, Lily se souvint tout de suite, c'était le Proffesseur Clemence. Un ex-serpentard tout comme les deux soeurs. Lily se dirigea vers le grand portail en fer forgé du cimetière le poussant délicatement. Il s'ouvrit en grinçant. Lily découcrit alors le proffesseur allongé sur une tombe voisine de celle de la mémé de cendre. Il parlait a Shinley, Lily fit un sourire sadique puis elle répondit a l'homme avant que Shinley n'est eu le temps de glisser un mot:

-Laissez ma soeur tranquille, surtout que vous n'êtes pas doué non plus! Vous êtes içi pour quoi au juste, pour vous reuceuillir ou pour nous faire subir vos sarcasmes?

Lily resta ensuite de marbre regardant tour à tour les deux jeunes gens.

Aucun bruit dans ce désert de cadavre. Juste le vent qui soufflait dans les branches des quelques arbres faisant ainsi tomber les feuilles mortes qui s’incrustèrent sur le sol. Enfin, aucun bruit jusqu’au moment où shinley commençait à suffoquer. Aujourd’hui, Shin aurait préféré ne pas se trouver ici, ou plutôt rester seul, assise sur une pierre tombale. Elle se sentait troublée par la mort de ça grand-mère. Etant plus jeune, elle avait espérée pouvoir refaire vivre son ancêtre comme ils avaient fait pour lord. Mais, personne n’avait choisie la voie de la blondinette qui du se taire à jamais sur se sujet. En même temps, pas facile de ranimé des cendres… Mais, allait-elle encore reculer? Et s’il existait une potion pour les vampires ? Et malgré les quelques larme de tristesse qui pouvaient s’écouler le long de ses joues, une sourire s’adique commença peut a peut à s’afficher. Son ascension fut stoppée, lorsque la voix disgracieuse de monsieur Clemence cassa le long silence qui s’était installé depuis que Shinley avait cessé ses sanglots. Comment un homme aussi cruel pouvait-il ainsi manqué de respect à ses aînés ? Mais, il n’en avait pas fini avec la Munch et, continua l’insulte à l’encontre de tout les membre de la famille. Shin ne laissait jamais passé ça. Même venant de ses amis. A vrai dire, elle avait toujours dis aux autres qu’elle avait des amis mais, en réalité, elle était seule. Seule et bien seule. Elle ne possédait même pas un tout petit animal. Néanmoins, elle essayait de créer du lien sociale a son travail. Pas facile avec tout le boulot que lui donnait monsieur Loki, la seule personne qu’elle connaissait au ministère à part ça sœur. Shin aurait tant voulu un ami sur qui compter, mais jamais personne ne s’en était soucié. Donc, prise de colère elle se retourna et, comme si le destin avait enfin tourné en sa faveur. Voyant de loin luire la sublime chevelure de sa sœur, son sourire sadique repris le dessus sur celui plein de haine.

Shin aimait sa sœur plus que tout. En même temps, facile lorsque l’on avait aucune autre personne à qui parler. Enfaîte, Shin menait une sorte de fausse vie. Un grand mensonge sur lequel était basé sa vie. Elle ne faisait que mentir. Aucune amie ni même aucun petit copain. Pas évident pour une fille de vingt ans. En même temps son caractère n’y était pas pour rien. Toujours dépassé par sa mauvaise humeur, regardant de haut les autres individus. Et son nouveau métier de gérante de bar ne l’aiderait sûrement pas. Les seuls moments où elle était à l’aise et où elle se sentait bien, n’étaient qu’on compagnie de sa soeur. Bref, les deux Munch étaient maintenant réunies. Mais avant que la plus vieille n’ait pu répondre, Lily l’avait déjà fait. Tout compte fait Shin fut bien contente de ne pas avoir à adressé la parole à cet homme, qui l’insupportait tant par ses remarque sarcastique, que par son physique à la « demon, star ».

La secrétaire regarda alors sa sœur du coin des yeux, et eu le sourire à s’écarter sur le côté. Elle semblait dire « bien joué ». Toujours était-il que son ancien professeur n’avait pas bougé d’un poil de la pierre tomba qui croulait sous son large corps. Encore une des multiples manières de se faire remarqué du jeune homme. Enfin, il faisait ce qu’il voulait, Shin s’en moquait éperdument. Puis, elle enleva les quelques toiles d’araignée du dessus de la tombe et se releva, balançant ça crinière or en arrière, et laissant place à ses magnifiques saphirs.

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